Le grunge barock est sur la toile...

26 novembre 2006

J’en avais envie. Me balader du côté de chez Miss Edith. Enfin pouvoir mener l’enquête sur cette troublante garce, égérie du grunge barock de la fin du XIXème siècle. J’ai trouvé son adresse assez facilement. Puis je me suis rendu sur place. Visiblement, Miss Edith ne fait jamais un tour de clé… J’ai donc pu ouvrir toutes les portes.

En me promenant chez la Miss, j'ai appris beaucoup sur l'intrigant grunge barock et surtout, j’ai pu tendre l’oreille. Je n’ai pu nier l’évidence : quand on a goutté au grunge barock, on sent l’accoutumance proche. La dernière fois, c’était à Un Autre Monde. Eblouissant ! Ce ne sont pas mes collègues de Roll Mops présents ce soir-là qui me contrediront...

Evidemment, je n'ai pas pu m' empêcher de poursuivre mon chemin du côté de chez Miss Edith. Au fur et à mesure que je faisais ma petite visite, je savais que la dépendance risquait tôt ou tard de me gagner. C'est toujours comme ça avec le grunge barock... J'en voulais encore. Une chose m'a rendu triste toutefois : ne pas avoir repéré d’emblée l’évidente parenté de Miss Edith avec les Dresden Dolls...

Pas question d’économiser les gouttes de sueur, même souci de la mise en scène, de lier rock et glamour, de créer un univers singulier. Bon sang mais c’est bien sûr. Pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt... Et puis Prague n'est pas si loin de Dresde.

Vous l'aurez compris, il est temps d'aller faire un tour du côté de chez la Miss tchèque (www.missedithmusic.com)